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« J’ai fait un rêve merveilleux, dit-il. Je nageais dans le Pacifique Sud et la mer laissait passer les rayons du soleil. Je n’était plus un poisson, j’étais un sous-marin. On m’appelait USS Barracuda et tout le monde me respectait. »

Panique au restaurant.

Ciel un O.T.N.I !

Illustrations de Aurélia Vernhes
Magazine Mort de Lire n°370
Milan Presse, octobre 2018

Aliette est ufologue amateur fan de Julie Safuz, grand reporter à Soucoup’scoup. Lorsqu’un objet tombé non identifié atterrit dans son jardin et brûle la pelouse, elle saute sur l’occasion pour contacter son idole. Quand la journaliste débarque à Gratte-en-bourg, l’objet a déjà été pris en charge par le brigadier de service et les gendarmes refusent de le lui présenter. Aliette propose à Safuz de l’aider à réaliser son reportage, mais la journaliste l’écarte de son chemin un peu brusquement. De toute évidence elle en sait beaucoup plus sur cet objet qu’elle ne veut le dire.

Disparus

Illustrations de Joël Corcia
Magazine Je Bouquine n° 360
Bayard Presse, février 2014

« 1907, au nord de l’Écosse. Liam, 15 ans, travaille comme scaphandrier. Ce soir-là, le Snow, le bateau sur lequel a embarqué son frère, n’est pas rentré au port. Se serait-il perdu dans la zone maudite d’où aucun marin n’est jamais revenu ? »

Panique au restaurant

Illustrations de Yves Calarnou
Magazine J’aime Lire n°446
Bayard presse, mars 2014

À l’Assiette Exquise, chacun est à son poste : Papa en cuisine, Maman au service. Quant à Frim le chat et Einstein le Chien, ils attendent à la fenêtre, que leur cher Louis rentre de l’école. Le chien, le chat et le poisson rouge sont le plus grand soutien du garçon. Il leur arrive même de signer ses punitions. Le jour où Papa et Maman refusent de quitter leur restaurant pour conduire Louis à une fête d’anniversaire, les trois animaux décident de prendre les choses en mains… en pattes. Si le restaurant ferme définitivement, il n’y aura plus d’obstacle et Louis pourra honorer son invitation…

Vive les vacances !

Illustrations de Anne Simon
Magazine J’aime Lire n°427
Bayard presse, août 2012

Les parents de Jules viennent de gagner un voyage pour deux, dans une île paradisiaque. Avant de partir, ils doivent répartir leurs nombreux enfants entre famille et amis. Jules fait une mauvaise pioche : il passera son week-end chez un lointaine tata réputée pour être un peu bizarre. Le jour du départ, sur le point de louper leur avion, les parents le laissent en bas de l’immeuble de la fameuse grand-tante. Dépité, Jules monte les escaliers et frappe à la mauvaise porte.

Follette exagère !

Illustrations de Aurélie Neyret
Magazine J’aime Lire n°402
Bayard Presse, juillet 2010

Follette est une farfadette dont les farces n’ont pas de limites. Mais lorsqu’elle vole la baguette magique de la fée Bouillotte pour transformer les champs de maïs en lacs de popcorn, c’est la bêtise de trop. La farfadette est envoyée en ville, par le chef des lutins, pour y accomplir sa punition. C’est ainsi qu’elle entre au service d’Isaac Opticks, un vieil astronome qui a grand besoin d’un coup de main. Follette travaille à la manière des lutins : elle fait le ménage incognito. Tellement incognito qu’elle n’est jamais récompensée pour son labeur. Le professeur finira-t-il par se rendre compte que son manoir ne se nettoie pas tout seul ?

Follette s’entête !

Illustrations de Aurélie Neyret
Magazine J’aime Lire n°403
Bayard Presse, août 2010

Le neveu du professeur Opticks et sa femme, se sont mis en tête de faire main basse sur le manoir, quitte à faire décamper le vieil homme. Mais Follette qui s’est prise d’amitié pour le professeur leur réserve quelques-uns de ses meilleurs tours. La farfadette est si exaltée par le succès de ses mauvaises blagues qu’elle en oublie presque sa mission. Trois Brins, le chef des lutins, se déplace jusqu’au manoir pour lui faire entendre raison. Lorsqu’il découvre que Follette communique avec le professeur Opticks, il perd son sang-froid et, dans sa colère, il transgresse lui-même la règle la plus importante du petit peuple : ne jamais se montrer aux humains. Ce qui aura des conséquences catastrophiques, mais pas nécessairement pour qui l’on croit.

L’œuf d’Aggie

Illustrations de Mélanie Allag
Magazine J’aime Lire n°369
Bayard Presse, octobre 2007

Aggie veut plaire à Cora et Isa, ses voisines, mais comme elle n’a pas de Mimi Baudet, elle est toujours sur la touche. Lorsqu’elle se fait arracher une dent, elle saute sur l’occasion pour en demander un en récompense. Avec son merveilleux nouveau jouet, Aggie court voir ses voisines. Quand elle les rejoint, un adorable lapin blanc, bien vivant, a remplacé les Baudets en plastique. Pour rester dans la course, Aggie demande un animal à ses parents. Mais ces derniers refusent. Un animal, c’est une grande responsabilité, c’est du temps, de l’argent…D’accord, d’accord, on connaît la chanson. Du coup, Aggie demande un œuf. Pas un œuf de frigo complètement inerte, un vrai œuf de ferme, susceptible de renfermer… oui, un joli poussin. Si on s’y prend bien.

Embrouilles au collège

Illustrations de Capucine
Magazine Dlire n° 102
Bayard Presse, mars 2007

« Au collège, il y a une terreur, un gros dur, un caïd comme on dit. Son nom, c’est Ernest Bourlette. Impossible de le rater ! Son occupation favorite c’est d’insulter, d’humilier, de frapper tout ce qui passe à sa portée. Je le hais. Sauf que depuis trois jours, il y a dans mon cauchemar une petite lueur d’espoir car je crois bien avoir découvert le point faible de cet affreux tyran… »